Les Franco-Ontariens et les luttes scolaires: La crise du Règlement XVII*

Réf.:
Université d'Ottawa, Fonds Association canadienne-française de l'Ontario (C2), Ph2-954
Centre de recherche en civilisation canadienne-française.
Reproduit des Archives municipales d'Ottawa.


Auteur:
Inconnu.


Sujet:
Les gardiennes de l'école Guigues d'Ottawa en 1916. Rangée du haut : Albertine Sarault, Euphrasie Dubé, Annette Trépanier, Marie-Antoinette Bérubé, Donalda Blais et Adèle Défayette. Rangée du milieu : Alice Lafrenière, Honorine Brazeau, Valentine Bédard, Yvonne Grenon, Marie-Blanche Desloges, Adelia Richard, Georgianna Lapierre, Adèle Baizana et Agnès Blanchette. Rangée du bas : Ernestine De La Salle, Alexina Fink, Diane Desloges, Béatrice Desloges, Delisca Dionne et une personne non identifiée.


À la rentrée des classes en janvier 1916, des mères et des grands-mères de familles canadiennes-françaises d'Ottawa prennent le contrôle de l'école Guigues afin de permettre aux enseignants, dont les soeurs Desloges (au centre de la photo), de pouvoir enseigner malgré le refus des autorités. Armées de ciseaux et d'épingles à chapeau, elles montent la garde à l'entrée de l'école et empêchent les autorités d'y entrer.